Accueil > Mediacteurs
Mediacteurs

  • Conseil supérieur de la communication : Béatrice Damiba confirmée à la présidence, 4 nouveaux conseillers font leur entrée

    Le conseil des ministres du 28 mars 2012 a renouvelé le mandat de huit (8) membres du conseil supérieur de la communication (CSC) et autorisé l’entrée de quatre nouveaux conseillers pour un mandat de trois ans. Béatrice Damiba a été reconduite au poste de présidente du conseil.
    Les 12 conseillers du CSC ont donc un nouveau mandat de trois ans pour veiller à la bonne régulation des médias burkinabè. Le CSC compte en son sein quatre membres nommés par la Présidence du Faso, quatre par les Associations (...)

  • Communication interne des organisations : Entre paradoxes et recherche de légitimité

    La communication interne demeure intermittente dans de nombreuses organisations au Burkina Faso. Le système de management en prend un sérieux coup puisque ces structures n’arrivent pas à mobiliser les énergies de leurs salariés vers un même idéal. Telle est la conviction d’Arsène Flavien BATIONO, Chercheur associé et Président du Groupe d’Etudes et de Recherches en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (GERSTIC).Après une analyse critique des principaux problèmes, il dégage (...)

  • Amadou Sondé, président-fondateur de Doonya Technologies : « Une entreprise qui n’investit pas aujourd’hui dans les technologies court le risque de ne plus exister demain »

    Ingénieur en technologies numériques de communication et titulaire d’un Master en entrepreneuriat et management des innovations, Amadou Sondé est un passionné des TIC et de l’entrepreneuriat.
    En 2009, à seulement 26 ans, il crée sa première entreprise de services en télécommunication, Doonya Technologies (www.doonya.fr). Basée en Europe, Doonya , comme son nom l’indique, va à la conquête du monde en s’intéressant au marché ouest-africain où le secteur des TIC connaît un dynamisme particulier.
    Dans cet (...)

  • El Hadj Aboubacar Zida dit Sidnaba, PDG du groupe Savane communication : La rue, les champs de plantation, puis… la communication

    Dans son fauteuil de PDG, s’exprimant dans un Français approximatif, mais loquace et très ouvert, souriant ou riant aux éclats avec ses visiteurs, nous avons là un autodidacte presque parfait. El Hadj Aboubakar Zida, plus connu sous le pseudonyme Sidnaba, (patron de la vérité en langue nationale Mooré) a presque tout appris sur le tas. Orphelin dès le jeune âge, il a bâti son succès à partir de la rue, puis dans les plantations de café cacao en Côte d’Ivoire où il s’est essayé à moult métiers. (...)

  • Arsène Evariste Kaboré, rédacteur en chef de la RTB/Télé : Le plus anglophone de la télévision nationale

    Arsène Evariste Kaboré avait la possibilité, la plus évidente d’ailleurs, de devenir professeur d’Anglais. Mais, il en a décidé autrement. « Si je devais être professeur d’Anglais, j’aurais voulu que ce soit au niveau du supérieur », précise-t-il.
    Mais tout ça n’est plus à l’ordre du jour. C’est dans le journalisme qu’il évoluera. Diplômé de l’institut de journalisme du Ghana, titulaire d’un certificat en journalisme, publicité et TIC de l’université de Maryland aux Etats-Unis d’Amérique, en plus de sa maîtrise (...)

  • Lucienne Adissa Toé/Guingani, journaliste : « La femme doit éviter d’enter par la petite porte »

    Grande de taille, au teint clair naturel et toujours souriante, elle a embrasé le journalisme depuis 2004. Après quatre ans hors du Burkina Faso, pour des raisons familiales, elle y est revenue et a réintégré son poste à la Radio télévision du Burkina de l’Ouest. Elle a été nommée récemment rédactrice en chef de la RTB2. Cette dame au grand coeur, est Adissa Lucienne Toé, mariée et mère de deux enfants.
    Adissa Lucienne Toé/Guingani a été nommée chef de section information et reportage (c’est-à-dire (...)

  • Ramata Soré, journaliste : « J’aimerais toujours donner le meilleur de moi-même »

    Journaliste au bimensuel L’Evènement, Ramata est une brave femme qui aime véritablement son métier. Elle exerce dans un domaine où l’on rencontre peu de femmes : le journalisme engagé. Mais notre invitée de la semaine s’en sort très bien. Elle s’engage où même un homme n’oserait pas. Toujours battante, Rama continue d’élargir son cursus scolaire dans une université au pays de l’oncle Sam. Rencontre avec une autre figure du monde des médias burkinabé.
    Présentez-vous à nos lecteurs
    Je suis Ramata SORE. (...)

  • Ouezen Louis Oulon : "Je resterai toujours journaliste "

    Entre le journalisme et lui, « c’est une histoire de passion ». Et c’est tout fièrement qu’il affirme, « c’est le seul métier que je sais pratiquer au monde ». Ouezen Louis Oulon, bien connu de l’auditoire burkinabè, africain et même mondial est tombé amoureux de ce métier de scribouillard dès ses premiers pas à l’école primaire.
    Je ne suis pas venu au journalisme parce que je cherchais de l’emploi et que et c’est ça qui s’est présenté devant moi. Je dirai que c’est le seul métier que je sais pratiquer au (...)

  • Yam Pukri, l’intelligence et l’ouverture au service des TIC

    Depuis plus de dix ans l’association Yam Pukri cherche à promouvoir les nouvelles technologies au Burkina Faso. Coordonnatrice du réseau Burkina N-TIC, elle est aujourd’hui un des fers de lance du mouvement qui incite les Burkinabè à une plus grande utilisation des TIC.
    Association pionnière dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC), Yam Pukri multiplie les initiatives depuis 1998. Formation pour les jeunes scolaires, ouverture des premiers cybers-cafés à (...)

  • Thierry Hot : A la conquête du lectorat africain

    Dans l’interview qu’il a accordée à nos confrères de Mutations, un quotidien privé du Cameroun, Thierry Hot, ancien journaliste à la BBC, ancien directeur de l’information de la chaîne panafricaine Africa 24 et Président du conseil éditorial du groupe de presse Fasozine, donne les raisons de son départ de Africa 24 et annonce la mise sur orbite, dès juillet, de « Notre Afrik », son nouveau mensuel d’information.
    Mutations : On ne vous voit plus sur les écrans d’Africa 24. Qu’est ce qui justifie ce (...)

0 | 10 | 20 | 30