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Mediacteurs

  • Ramata Soré, journaliste : « J’aimerais toujours donner le meilleur de moi-même »

    Journaliste au bimensuel L’Evènement, Ramata est une brave femme qui aime véritablement son métier. Elle exerce dans un domaine où l’on rencontre peu de femmes : le journalisme engagé. Mais notre invitée de la semaine s’en sort très bien. Elle s’engage où même un homme n’oserait pas. Toujours battante, Rama continue d’élargir son cursus scolaire dans une université au pays de l’oncle Sam. Rencontre avec une autre figure du monde des médias burkinabé.
    Présentez-vous à nos lecteurs
    Je suis Ramata SORE. (...)

  • Ouezen Louis Oulon : "Je resterai toujours journaliste "

    Entre le journalisme et lui, « c’est une histoire de passion ». Et c’est tout fièrement qu’il affirme, « c’est le seul métier que je sais pratiquer au monde ». Ouezen Louis Oulon, bien connu de l’auditoire burkinabè, africain et même mondial est tombé amoureux de ce métier de scribouillard dès ses premiers pas à l’école primaire.
    Je ne suis pas venu au journalisme parce que je cherchais de l’emploi et que et c’est ça qui s’est présenté devant moi. Je dirai que c’est le seul métier que je sais pratiquer au (...)

  • Yam Pukri, l’intelligence et l’ouverture au service des TIC

    Depuis plus de dix ans l’association Yam Pukri cherche à promouvoir les nouvelles technologies au Burkina Faso. Coordonnatrice du réseau Burkina N-TIC, elle est aujourd’hui un des fers de lance du mouvement qui incite les Burkinabè à une plus grande utilisation des TIC.
    Association pionnière dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC), Yam Pukri multiplie les initiatives depuis 1998. Formation pour les jeunes scolaires, ouverture des premiers cybers-cafés à (...)

  • Thierry Hot : A la conquête du lectorat africain

    Dans l’interview qu’il a accordée à nos confrères de Mutations, un quotidien privé du Cameroun, Thierry Hot, ancien journaliste à la BBC, ancien directeur de l’information de la chaîne panafricaine Africa 24 et Président du conseil éditorial du groupe de presse Fasozine, donne les raisons de son départ de Africa 24 et annonce la mise sur orbite, dès juillet, de « Notre Afrik », son nouveau mensuel d’information.
    Mutations : On ne vous voit plus sur les écrans d’Africa 24. Qu’est ce qui justifie ce (...)

  • Samsk le Jah : « Je ne suis pas une sagesse ambulante »

    Artiste musicien et animateur, Samsk le Jah trouve là le meilleur canal pour exprimer et défendre son idéal. Critique virulent des tares de la société et de certaines politiques, il a défrayé la chronique en 2008 lorsqu’il a reçu des menaces de mort. Cela est désormais dans les tiroirs de l’histoire mais n’a pas ébranlé Le Jah dans son rôle d’éclaireur du peuple.
    Directeur des programmes et des productions de Ouaga FM depuis 2004, il est le seul rasta qui occupe un tel poste dans une radio au Burkina. Sama (...)

  • Mohamed Soh Touré, animateur d’Affairage : "Je suis un pur produit de la FM"

    « Affairage ». Voilà une émission interactive qui fait la notoriété d’un animateur actuellement. Déjà à sa troisième saison mais l’animateur s’en tire à bon compte en dépit du fait qu’il n’y ait pas de sujet tabou. Pourtant, Mohamed Touré n’a suivi aucune formation particulière allant dans le sens de l’animation. Il s’est formé sur le tas mais a fait ses preuves dans le domaine de la radio. Son rêve, faire de la télévision.
    Mohamed Soh Touré, animateur, chef d’antenne et chargé de la programmation et de la (...)

  • Zakaridja Gnienhoun, Directeur Général de Ouaga FM : « Notre métier est un challenge au quotidien »

    Né en 1968 en Côte d’Ivoire où il fit ses études primaires et secondaires avant de regagner la terre des hommes intègres, Zakaridja Gnienhoun est titulaire d’une maîtrise en lettres modernes de l’université de Ouagadougou depuis 1993. Celui que rien ne prédestinait aux médias est aujourd’hui le directeur de Ouaga FM, la deuxième radio la plus écoutée de la capitale.
    Gnienhoun a d’abord “mangé la craie” avant de connaître le micro. A la fin de sa formation à l’université de Ouagadougou, il sert comme (...)

  • Rabankhi Abou-Bâkr Zida, directeur de Sidwaya : Faire de Sidwaya un modèle, une référence

    Après un Bac D, Rabankhi Abou-Bâkr Zida passe avec succès le test d’entrée au département des Arts et communications, actuel département communication et journalisme de l’université de Ouagadougou d’où il sort avec une Maîtrise en sciences et techniques de l’information et de la communication (1998-1999).
    Plus tard, cet assoiffé du savoir s’inscrit en DESS à l’IPERMIC (2006-2007). Parallèlement, il a suivi plusieurs autres formations dans divers domaines au Burkina et à l’international ; la plupart du temps (...)

  • Victorien Aimar Sawadogo , Chef du service des rédactions, rédacteur en chef du quotidien Sidwaya

    de formation et de profession Victorien Aimar Sawadogo est un produit de la 2e promotion du département des arts et communications de l’Université de Ouagadougou. Il fait ses premières armes à Sidwaya comme collaborateur déjà quand il était étudiant. La fin de sa formation coïncide avec un recrutement et il est retenu. De stagiaire à travailleur en passant par pigiste, Victorien aura passé par toutes les étapes dans la maison. Plusieurs fois chef de desk aussi bien au sport qu’au quotidien.
    Victorien (...)

  • Jolivet Emmaüs Sidibé Pagbelguem, directeur de l’AIB : Un « Yellow man » contre une léthargie prononcée

    A sa signature « Jolivet Emmaüs », l’on croirait avoir affaire à un européen. Et pourtant, bien qu’étant de teint clair, le nouveau directeur de l’Agence d’information du Burkina (AIB) est l’un de ces Burkinabè issus de la diaspora ivoirienne. Jolivet évoque le souvenir du père défunt de la sage-femme, religieuse italienne, qui a accouché sa maman. Emmaüs est le prénom donné par sa mère très catholique du courant « Renouveau charismatique » qui a voulu que son fils rencontre le Seigneur comme ses deux (...)

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